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Affiche du document Compléments alimentaires : bénéfiques, inutiles ou toxique ? - partie 1

Compléments alimentaires : bénéfiques, inutiles ou toxique ? - partie 1

C.E.R.I.M.E.S.

1h30min03

  • Sciences de la vie, Biologie
Compléments alimentaires : bénéfiques, inutiles ou toxiques ? Qui croire, que savoir ?
Conférence-débat co-organisée par la Mission Agrobiosciences et le Groupe ESC Toulouse
9 décembre 2010, hôtel de région Midi-Pyrénées
Après la relation entre l’alimentation et le cancer, puis les cosmétiques bio, cette troisième collaboration entre la Mission Agrobiosciences et l’Ecole supérieure de commerce de Toulouse porte sur les compléments alimentaires, ces fameux suppléments dont les consommateurs attendent tant, trop ? Trop beaux pour être vrais ?
Des élèves du Mastère Management des Industries de Santé ont réalisé, en amont, un important travail de recherche bibliographique, de repères chiffrés, de définitions et des entretiens auprès d’experts et de consommateurs, regroupés dans un dossier.
Pour aller plus loin, la Mission Agrobiosciences et le Groupe ESC Toulouse, en partenariat avec l'Université de tous les savoirs (Canal-U) et radio FMR, organisaient le jeudi 9 décembre 2010, à l'hôtel de Région Midi-Pyrénées une conférence-débat : "Les compléments alimentaires : bénéfiques, inutiles ou toxiques ? Qui croire ? Que savoir ?".
Laissant une large place au débat avec le public, ces trois heures de rencontres avaient pour objectif de permettre d’approfondir les tendances de consommation, de mieux décrypter les différents enjeux sociétaux et économiques, mais aussi de faire le point sur le front des connaissances scientifiques et la nouvelle réglementation.
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Affiche du document Conférence de Naomi Klein : Tout peut changer, capitalisme et changement climatique

Conférence de Naomi Klein : Tout peut changer, capitalisme et changement climatique

1h22min06

  • Économie
  • Sciences de la vie, Biologie
En décembre 2015, Paris (Le Bourget) a accueilli la Conférence de l’ONU sur le changement climatique. Ce sommet international devait constituer une étape décisive après plus de 20 ans de négociations internationales sur le climat.
Au cours de ces deux décennies, les émissions de gaz à effet de serre n’ont pas cessé d’augmenter. Les pays les plus pollueurs renoncent peu à peu à toute politique ambitieuse de réduction de leurs émissions.
Il n’y a là aucune fatalité, nous dit la journaliste et essayiste Naomi Klein dans son livre Tout peut changer, capitalisme & changement climatique (Actes Sud, mars 2015). Elle déconstruit avec sa lucidité et sa rigueur habituelles les mythes qui parasitent le débat sur le climat et constituent autant d’obstacles à l’action : non, le marché ne nous sauvera pas ; oui nous pouvons tourner la page des combustibles fossiles à condition d’accepter de limiter le pouvoir des multinationales et de repenser le fonctionnement de nos sociétés et de nos institutions.
Elle montre également que la bataille pour la transition vers des sociétés justes et durables est largement engagée. Les mobilisations sociales pour la justice climatique ouvrent en effet la voie vers une transformation radicale de nos sociétés : changer le monde plutôt que le détruire.
RÉALISATION
Pôle Création Audiovisuelle / Service Communication 
Alexandre Boutin - Lucie Fradet - Abdou Gassama - Patrick Masclaux
https://vimeo.com/paris8webtv
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Affiche du document 10. Foresterie et utilisations du bois de châtaignier

10. Foresterie et utilisations du bois de châtaignier

Gérard BRIANE

47min43

  • Économie
  • Sciences de la vie, Biologie
  • Botanique
  • Agriculture, Exploitation de la faune et de la flore
Le bois du châtaignier est naturellement durable en raison de sa forte teneur en tanin qui lui confère une grande résistance aux diverses agressions : champignons, insectes et autres éléments naturels. Son utilisation passée et actuelle est très variée. Certains usages ont aujourd'hui quasiment disparu mais d'autres perdurent : le bois de chauffe, la menuiserie et l'ébénisterie, le bois de charpente et d'ossature, la fabrication de parquets et, à présent, la fabrication de meubles design. La vannerie a toujours été une valorisation artisanale importante et spécifique au bois de châtaignier, un bois souple et facile à travailler. Mais aujourd'hui, les professionnels lui accordent bien d'autres qualités et responsabilités.
En effet, le châtaignier, parmi les feuillus, est une essence qui a une croissance assez rapide et de bonnes aptitudes à une exploitation en sylviculture dynamique. Il offre un prix très intéressant, parfois supérieur au chêne pour les acheteurs du Sud de l'Europe (Italie, Espagne). Il connaît de grands défis car il souffre de diverses pathologies sanitaires qui affectent la santé de ses peuplements (surtout en forêts) : le chancre, l'Encre, la petite guêpe du châtaignier (cynips), etc. Malgré tous ces problèmes, il a un fort potentiel parce que c'est un bois qui, dans certaines conditions, est pratiquement comparable aux bois tropicaux, ce qui en fait une essence aux usages multiples, tant par sa durabilité, en extérieur, que par son potentiel du point de vue de l'innovation technologique et du développement de produits nouveaux. Mais il a aussi un grand avenir face au concept de développement durable : c'est un matériau renouvelable, c'est une matière première pour de nombreux usages, où rien ne se perd (chimie, pâte, etc.), et c'est une matière première utilisable pour produire de l'énergie. A une époque où l'on souhaite moins polluer que par le passé, disposer de bois devient un atout important pour la construction car sa mise en oeuvre est économe en énergie. Le châtaignier est donc un bois polyvalent, multifonctionnel et qui, parmi les feuillus, est celui qui a le plus large domaine d'utilisation.
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Affiche du document Quelles approches pédagogiques pour l’éducation aux Objectifs de Développement Durable ?

Quelles approches pédagogiques pour l’éducation aux Objectifs de Développement Durable ?

Didier MULNET

23min03

  • Éducation
  • Sciences de la vie, Biologie
Les ODD se fixent des objectifs opérationnels, mais
ne proposent rien concernant les façons d’atteindre ces objectifs. Le
risque des approches par les ODD est de refragmenter des champs qui
avaient rétabli des interactions entre eux, de polariser certaines
actions sur le long terme uniquement sans vision prospective, de
privilégier les visions du Nord, voire de perdre de vue la véritable
finalité de certaine de ces actions.


L’éducation
devrait permettre d’établir les liens entre ces ODD tout en restant
critiques mais constructifs sur certaines orientations. L’approche entre
autres par les métacompétences développement durable et responsabilité
sociétale, peut permettre de redonner du sens à ces ODD et de proposer
des outils d’analyse et de mise en œuvre opérationnelle.

Dans
un contexte il nous faut, à la fois relever les défis environnements et
les (r)évolutions sociotechniques (numériques, nouveaux métiers,
nouvelles façons d’apprendre et de communiquer..). L’éducation au
développement durable ne peut donc qu’évoluer dans ses formes (MOOCs,
pédagogies inversées…) sans renoncer à ses valeurs mais en s’appuyant à
la fois sur les résultats de recherche (sur l’apprentissage,
l’efficacité de certains outils de formation…) et sur la richesse et
diversité des pratiques, générant différentes approches pédagogiques
ayant leur pertinence dans leurs contextes respectifs.
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